Au restaurant [ Pv : Pleins de monde ]

Black Star avait envie aujourd'hui d'aller au restaurant ,un des meilleurs du monde de Tellis ... Un bon design dans l'ensemble ,des plats succulents et une bonne ambiance dans ce restaurant. C 'était idéal pour le jeune homme qui décida sans plus attendre d 'y aller ; Il prenait de l'argent afin de manger normalement et commença à partir sur le champ. Le temps , il faisait très beau ce jours-ci ,le soleil magnifique et quelques nuages qui forme des ombres assez confortable , des oiseaux qui chantent avec des sons plutôt magnifique.. Ah c 'était un temps parfait pour ce promener , pendant le trajet vers le beau restaurant , le jeune garçon admirait le magnifique monde de Tellis... Les plantes ,les animaux tout était beau dans ce monde.

Après quelques temps il fut arrivée à destination , celui ci ouvra la porte du restaurant et observa un peu tout le monde et l'environnement surtout ainsi que les plats déjà préparés et mis sur les tables. Tout avait l 'air parfait ,Black Star alla au contoir afin de commander quelque chose puis le jeune homme s'asseye sur une chaise en attendant son repas.

- J 'espère que ça va être bon.

Puis en attendant son repas qui devrait être assez bon ,Black Star sortit de sa poche son portable afin de voir si il a des messages ou des appels manqués. Un beau portable de couleur noir métallisé avec comme fond d'écran lui même... Dès qu 'il devrait avoir fini son repas , le jeune garçon devait aller s'entrainner au Taekwon afin de parcourir les différents monde plus tard.

C'était un beau jour, mais pour mon ventre on aurait dit que non. Mon ventre demandait à manger, alors ne voulant pas le contrarier, je marchais en direction du restaurant. L'odeur m'alléchait déjà à peine je suis entré. Une odeur de... poulet je dirais. Ouais c'était du poulet. Ce resto était plutôt de luxe; je regardais les repas des autres clients. ça me donnait encore + envie; voir, sentir, regarder. Mais manque de bol ! Le resto était plein et il ne restait plus aucune table de libre pour un pauvre affamé comme moi. Je jetais un coup d'oeil partout; même si le resto était très grand, il ne restait vraiment aucune place. Je m'avançais vers un jeune homme qui avait les cheveux hérissés et bleus. Il devait être jeune et occupait une table de 6 personnes. Il devait être arrivé récemment car aucun plat gourmand n'était posé devant lui et il semblait attendre. Je m'avançais donc vers la table et je saluais le garçonnet.

-Salut ! Je peux m'assoir ici ? Comme tu le vois, il y a plus de place.. Désolé de l'intrusion.

Je levais la main pour commander. Je commençais à enchaîner des noms de plat qui étaient inscrit sur le menu et je sortis mon porte-monnaie pour vérifier mon argent; malheur ! J'avais oublié de prendre mes économies. C'est fichu pour mon repas, c'est fichu pour mon ventre, je vais devoir commander que de l'eau. Je pris un air vexé et me corrigea auprès du serveur.

-Pardon, je voudrais que de l'eau en fin de compte.

Le jeune gars en face de moi devait se demander ce que je faisais...

Padadam… Padadam… Dans une rue adjacente à la grande avenue du monde de Tellis, un haut-parleur, fixé en haut d’un bâtiment, crachait à volume maximum un rythme datant d’il y a déjà une dizaine d’années, accompagné d’une voix suave de jeune femme en fleur. On se demandait qui avait eu la pas si bonne idée de le mettre la, surtout Marya qui plaignait les personnes vivant à côté. D’ailleurs, ce n’était pas cette Marya qui était assise sur une benne a ordures, en train d’attendre un truc. Ah bah oui tiens.

Marya « Kiss » Ranewën ne supportait plus ce haut-parleur. Pas possible… Il l’empêchait de se concentrer. Mais que faisait-elle ? Elle regardait les gens. Dans son cerveau, l’information tiltait tout de suite. Argent, Pas d’argent, riche, pas riche. Rah non. Les gens passaient… Le temps avançait… Et puis mince. Elle avait faim. Plus d’argent. Elle avait utilisé ce qui lui restait pour acheter des bandages de mauvaise qualité, afin de panser sa cicatrice, résidu de son court séjour à Earth Flame. Il restait deux solutions, lui dirent ses deux doigts devant elle. La première et plus simple, voler de l’argent pour avoir de la nourriture ou de la nourriture à l’état pur. La deuxième, faire que quelqu’un aie pitié d’elle. Raté. Elle sortit de son coin et marcha lentement dans la rue avant de s’asseoir devant un restaurant, tiens. Derrière elle, près de la fenêtre, il y avait deux garçons à une table de six personnes, mais ça, elle ne le savait pas…

_________Philosophie.
~*Pile. Où est ce satané bureau...? Depuis une heure, j'arpente Tellis à la recherche de l'endroit où faire une demande de logement. Enfin, rechercher... Le mot est vaste, hein. Je dois avouer que, me laissant emporter par mes pas et mon imagination, j'ai oublié ce que je cherchais. Il y a des moments où mes habituelles questions philosophiques envahissent mon esprit. Alors mon moi-même vagabonde alors que je converse avec mon esprit. La vie est simple, alors pourquoi prendre à coeur tous ces détails tels une liaison amoureuse, un échelon de sa hiérarchie à gravir, ou le regard des autres portés sur soi-même ? On vit sa vie comme on l'entend. On se laisse porter par le vent, on se met bien dans la tête que nous sommes qu'un grain de poussière dans l'univers. Qu'on ne changera jamais le monde. Que ça ne sert à rien, tout simplement, car on ne laissera aucune trace de notre existence, ci ce n'est la création d'une nouvelle génération qui fera de même, encore et encore... Généralement, quand notre esprit décide de s'orienter dans ces songes sans queue ni tête, on déprime. C'est ce qui s'appelle les coups de blues, certainement. Pour moi, ce ne sont pas des coups de blues ; mais juste l'état d'esprit dans lequel je vis.

_________Faim.
Perdue dans mes habituelles pensées, j'en avais oublié ma destination et ce que je voulais faire au départ. Je n'étais plus à Tellis, mais enfouie dans les méandres de moi-même... Quand soudain, un bruit m'arracha à mes pensées ; le gargouillement insistant de mon estomac. Je me rendis compte alors que le soleil n'était pas aussi haut dans le ciel que je l'avais cru, et que je ne reconnaissais plus l'endroit où j'étais arrivée. C’était un dédale infini de ruelles dont aucun détail ne m'interpellait. Ah oui ! Je cherchais l'endroit où effectuer ma demande de logement... Malheureusement, il se faisait sûrement tard. L'agence devait être fermée depuis pas mal de temps ; en général, les horaires d'ouverture de ce genre d'institutions sont minces. Eh bien tant pis, cela attendrait demain ! J'aimais dormir confortablement dans l'espace exigu de mon vaisseau. C'était... plus intime, et je crois que j'ai toujours eu un côté chlostrophile. Mais pour l'instant, mon corps semblait réclamer quelque chose de comestible à digérer. Malheureusement, les snacks mobiles étaient fermés, il ne restait donc que trois possibilités : passer outre mon appétit et retrouver mon vaisseau avant que la nuit soit noire sans dîner / Aller manger un truc dans un bar vite fait / Aller au restaurant.

_________Choix.
Honnêtement, je n'avais pas très envie de rentrer sans un remontant en sachant que le trajet pourrait être long, et je n'avais pas non plus envie de me faire draguer par quelque pervers au bar ou supporter les grondements des hommes ivres. Alors, j'allais peut-être en payer le prix mais bon... le restaurant me semblait tout indiqué. J'allai donc le premier que je vis à la devanture présentable.
Quand j'entrai, le bruit de la population entassée agressa de suite mes tympans. Ouille ! C'était bruyant... Et alors, bondé ! Bondé, était-ce mal ou bien, en fait ? Hum... Je pouvais m'incruster dans un groupe de personnes supernombreuses et me faire des amis (utiles). Mh, oui, cela me semblait être un bon endroit de chasse ! Je souris. ~*Face. Alors, une grande table de six personnes me sauta aux yeux ; il y avaient deux garçons à peu près de mon âge et une fille debout qui semblait vouloir manger au restaurant ; à cette table donc, car c'était celle où il y avait le plus de places libres. De mon pas mal assuré, un peu effrayée par tout ce monde qui pourrait me sauter dessus à tout moment, je décidai derechef d'aller m'installer à la table du coin. A peine m'y étais-je assise en demandant si cela dérangeait et s'il n'y avait personne, qu’une serveuse m'avait adressé un sourire et m'avait demandé ce que je désirais.

-Euh... je... Le plat du jour, s'il vous plaît, bégayai-je en sentant le feu qui me montait aux joues. Je serrai les poings sous la table, fixant mon assiette avec acharnement, n'osant pas regarder les deux garçons qui ne semblaient pas non plus se connaître. Je pourrais m'enfuir à toutes jambes, s'il le fallait, ou dîner en dessous de la table... Ou encore me métamorphoser en microbe. Mais leurs regards que je sentais tournés vers moi m'écrasaient. Alors, prenant mon courage à deux mains, je dis pour ne pas paraître trop sotte : Hiam Kakihime ! Alchimiste ! 13 Ans ! Heureuse de vous connaître ! Ah, bravo. Là, si ils ne me prenaient pas pour une folle, j'aurais bien de la chance. "Heureuse de vous connaître", pfff... Rien qu'à mon ton effrayé, je donnais l'impression du contraire. Oh, pitié qu'ils m'ignorent et qu'ils recommencent à parler entre eux !

Akemi se promenait un peu dans la ville. Puis d'un coup, la faim l'avait prise. Elle soupira et regarda son argent. Ca va, elle en avait beaucoup... Elle regarda partout et prit le premier restaurant qui était posé sous ses yeux. Restaurant cher. Et célèbre qui plus est. Le vacarme s'entendait d'ici. Malgré que son cerveau lui disait non, son ventre était attiré par la délicieuse odeur des plats. Akemi entra quand même dans le restaurant et soupira. Tellement de monde, tellement de vacarme. Ca l'épuisait. Une table de six dont seulement trois personnes et une autre debout attira l'oeil d'Akemi. Il fallait qu'elle se tape cette table en plus ... Pff. Monde stupide qu'il lui offre. Il n'y avait pas d'autres tables ? Akemi n'avait pas le choix. Entre ces personnes qui étaient assises, et dont, elle pensait, cette table n'était pas réservée à d'autres, et celle de la place du bar ou plusieurs pervers ivres en manquent dont leur femme les ont quittés pour ça mais qu'ils ont bien mérité, elle allait prendre celle de la table à six, évidemment. Akemi regarda les personnes à la table. Elle n'aimait pas manger en compagnie d'autres personnes qu'elle ne connaissait pas. Elle n'avait plus faim, elle était sur le point de faire demi-tour. Mais une serveuse l'entraîna disant qu'ils n'avaient plus de place et que si elle voulait entrer et manger, il fallait aller à la table de six. Elle voulait dire à la serveuse tout de suite qu'elle voulait partir mais elle l'a posée à la table de six. Ce n'était pas possible. Akemi était à deux doigts de craquer. Mais elle garda son calme et tout ça s'en alla.

"Que désirez-vous mademoiselle ?"

La seule chose dont Akemi pensait était "Que vous partez d'ici. Et tout de suite." Mais elle se retint. Elle voulait manger, son ventre la dérangeait. Elle dit donc à la serveuse, avec un air neutre ce qu'elle "voulait".

"Je voudrais seulement une entrée et une boisson.
- Très bien. En entrée, nous avons tout les fruits et légumes possibles. Ainsi qu'en boisson, nous avons du jus de fruits, du coca et du orangina !"

Quel sourire niais. Tous les serveurs étaient comme ça ? En tout cas, cette fille là devait se demander pourquoi elle ne regardait pas le menu. Un seul mot : Flemme. Quelque chose attira l'attention d'Akemi. La présentation de la jeune fille qui avait l'air timide. Surtout son apparence. Hiam ... Kakihime... Kakihime, Kakihime... Ah. Akemi ne se présenta pas. Ce n'était pas la peine. Les yeux de Hiam étaient vert. Comme celui d'Akemi... Akemi se demanda pourquoi elle avait cet oeil là aussi... Si ça signifiait quelque chose ou pas. La serveuse attendait la réponse d'Akemi mais à l'instant, une table derrière venait de se libérer. Puis d'autres personnes se précipitèrent dessus.

"Laissez tomber l'entrée. Je voudrais du jus de pomme.
- Très bien, un jus de pomme qui fera 2.60 goldrunes !"

2.60 ... Que c'était cher ... La serveuse inscriva sur son carnet, toujours avec un beau sourire qui faisait pitié... Akemi soupira, mettant une de ses mains sur la table, pliée et une autre, griffant sa lèvre. Puis elle remarqua Kiss. Mais elle détourna vite la tête.

*Ce... Ce n'était rien. Ce n'était qu'une hallucination.*