Titre d'une rencontre. [PV: Matsu/Nuki/Eika]

.:T I T R E D' U N E R E N C O N T R E

Douce chaleur d'un printemps bien mérité, l'hiver avait été froid, trop froid. Si bien que le moindre rayon de soleil était synonyme de sortie de balade ou de shopping entre amis en ville. Les rues étaient bondées de monde souriant heureux de pouvoir enfin profiter du premiére soleil de l'année. Les gens parlaient entre eux de leurs vie, de leurs problémes, de ce qui les entours et si on tendait l'oreille on pouvait entendre au coin d'une rue une langue d'un pays voisin, tout ces mots resonnés contre les murs et les vitrines des magazins, des patisseries. Parmis toutes ces personnes parlant, marchant, faisant du lèche vitrine aussi, se trouvait une personne, seule, à marcher sans rythme particulier. Une fille habillait d'un uniforme de grande école aux cheveux noirs bleutés par le soleil naissant. Jusque là rien de très particulier, c'est justement pour cela que personne ne faisait attention à elle. C'en était presque étrange car cette jeune fille portait tout de même un grand katana d'un mètre 30 rangé dans un foureau bleu qu'elle tenait à la main. Etrangement les gens ne le regardait pas, comme s'il n'avait aucune importance malgrè le fait que se soit une arme parmis la foule. Contrairement à celle ci, Eika, la jeune fille, n'était pas là pour acheter, ni pour profiter du soleil, mais pour chercher un traveil ou tout autre choses pouvant lui raporter de l'argent. En vain elle attendait un cri de déséspoire d'une personne demandant de l'aide parcqu'elle serait pourchassé par un monstre. Puis courant lui venir en aide et tuant la bête, l'épeiste aurait demandé une compensation. Mais il ne falait rêver non plus. Ce genre de situations sont rares et bien d'autres personnes attendent ces moment là pour des raison diverses, donc Eika pourait arrivé en retard. Bref. Le fait est que la jeune fille marchait totalement sans but dans une ville qu'elle ne connait que peu. En parlant de ça... Eika s'arréta, se retourna puis regarda à droite puis à gauche. Elle ouvrit ses yeux en grand et recommença, droite, gauche. Bien que ce soit une grande rue commercante, Eika s'était éloigné sans s'en rendre compte de la seule zone de la ville qu'elle connaissait. En gros et pour faire simple, elle était perdu. Une situation si stupide que Eika soupira et ne trouva rien que mieux à faire que de s'assoire en soupirant de plus belle, sur un banc près d'un arbre fraichement fleuri.

(Bon, j'espère que Matsurika ne m'en voudra pas trop d'avoir posté avant elle ><)

Alors que Eika cherchait si elle n'avait pas un plan dans la poche de sa jupe, elle entendit un son comme un bruit de fond. Au début ce fut un grand un silence, presque religieux, puis le sol trembla légérement décrochant quelques pétales du cericier au dessus du banc. La chose la plus interéssante fut les cris de panique. La grande rue était devenu le terrain de fuite des centaines de personnes qui profitaient du doux soleil. Eika releva la tête, quelque peut réjouie que son scénario catastrophe devienne réalité.


Eika avait toujours cette mauvaise habitude de penser argent avant même d'analiser la situation. Elle se leva de son banc, lissa sa jupe et fit tomber deux trois pétales de sakura qui était sur ses épaules. Calmement elle fit face à la foule qui courait toujours et qui la dépassa toujours sans la "voir". Eika prit son Katana à deux main, attendit que toute la foule soit loin deriére elle et sorti un centimétre de lame de son foureau bleu. Au coin de l'avenue deux monstres sortir, une sorte de moustique-mouche et une chenille verte. Eika cru mourir de déséspoire en voillant les petites bêtes, chétives donc facile à tuer. Elle cru une seconde qu'elle allait ranger son sabre et partir tellement la scéne était risible. Au moment où elle s'apprété à partir, d'autres ombres apparurent de la même rue, mais plus seulement deux, mais 8 monstres l'un après l'autres. Eika fit un pas en arriére surprise mais un peu heureuse, car qui dit monstres nombreux dit dangers élevés donc prime plus élevée. Eika sorti avec grace son katana, jeta son foureau à terre, prit son sabre à deux mains et le place près de sa anche à l'horrizontal. Elle soufla un bon coup et parti vers les monstres avec en tête l'image d'une bourse d'argent entre les mains de ses parents.

[Petit post... Désolée =_=]

(Désolée également, c'est court et pas super, avec un Hs au début ><)

La lame bleutée reflétait le soleil et envoillait des miriades de couleurs sur les murs et le sol. Eika en profita pour aveugler une de ces chenilles verte nommées "Fabres"à l'aide des rayons de lumiéres qu'elle fit rebondir sur son sabre. Celle-ci se récrocvilla, les autres monstres étaient plus lents donc plus loin. Eika posa le bout de sa lame au sol, commença à courir plus vite en laissent trainer la pointe au sol créant une petite trainée de poussiére et surtout en griffant les pierres du trottoire. Le fabre n'allait pas tarder à rouvrir les yeux, l'épeiste releva son arme en envoillant le nuage de sable sur lui pour l'imobiliser plus longtemps et transpersa l'animal de part et d'autre. Par précaution elle fit un bond de côté et recula de quelques pas pour s'éloigner des prochains tout en secouant son sabre bleu pour faire partir le sang vert. Un brusque bruit revolver la fit sursauter, elle se retourna et vit une gunsliger armée de deux pistolets en argent en train reculer comme elle l'avait plus tôt et qui la remercier pour une raison qu'elle ne comprit pas. Surprise, l'épeiste recula encore, toujours face au monstres et en garde avec son sabre, un chonchon arrivait par la droite. La mouche-moustique ne fit un batement d'aile de plus, une flèche noire se fichat dans son ventre. Eika pensa qu'il s'agissait de la jeune fille de tout à l'heure mais un son métalique la mit sur une autre piste. Elle leva la tête et vit une autre personne aux longs cheveux roses perchée sur un lampadaire un peu plus au fond de la rue.

*Encore une autre personne ! ... 100 goldrunes divisées par 3... Ca fait pas beaucoup surtout pour des monstres aussi faible...*

Elle soupira en penchant la tête sur côté et en fermant les yeux. Si peu d'argent pour si peu de mal, au final c'était une mauvaise journée du début à la fin. Pas de plan, pas d'argent, pas de monstres dignent de se nom (bien que Eika ne soit pas une amatrice de combat...). L'idée d'une si petite réconpence la découraga magistarlement, elle baissa son arme et cru quitter le "champ de bateille" qui n'avait aucun intéret dans la minute. Mais Eika resta pensant pouvoir parler avec les autres... non il ne fallait pas que ces gens, dont elle ingnorait tout, et qui plus est lui diminuait la taille de la bourse d'or, se méle de ses affaires de famille. La longue réflxion dura encore, si bien que l'épeiste, perdu dans ses pensées, ne vit pas venir le lunatic ni les deux gelées roses. L'un des poring se jeta sur elle au niveau de l'épaule, la remétant en "mode vie réele" [C'est pas françaiiiiiis !! ><]. La texture rosée du monstre était gluante et immonde. Eika voulu s'en débarasser mais il était plus coriace que prévu, et surtout plus collant. La gelée se répendit sur le long de son bras recouvrant le poignée et l'empéchant de bouger celui-ci. Les autres monstres arrivaient. Eika passa son sabre dans sa main gauche, non-handicapée, et posa le plat de sa lame sur son épaule. Elle tranchant de haut en bas la bête. Le poring tomabant en dizaines de bouts au sol.

"Dommage il était mignon..."

La jeune fille aux cheveux roses répéta son attaque d'ombre et fini de s'occuper des monstres restant. En son fort intérieure Eika bouillait litéralement, non seulement elles en avaient tué plus qu'elle mais en plus elle étaient deux! Oui deux avoir tué les béstioles qui étaient synonyme de richesse pour Eika! Après un calcul approximatif, la jeune fille fut dépitée de constater la maigreure de la récompence. Aucune émotion ne pouvait étre lu sur son visage, seuls ses poings sérrés et une aura, si elle avait une, démoniaque aux tons violets-rouges qui plannait au dessus de ses épaules. Eika avait vraiment besoin de cet argent, mais son image passa en premiere, elle se dirigea donc vers les deux jeunes filles au fond de la rue tout en rengénant son sabre dans son foureau bleu. Bien que peu bavarde pour éviter de laisser filtrer des informations honteuses à son sujet, il ne falait pas non plus paraitre trop froid aux yeux des autres.

"Merci de votre aide, je peux vous demander vos noms?"

En attandant une réponse elle reprit sa place sur le banc ou elle était quelques minutes plus tôt. Elle sorti de sa poche un petit manekineko à grelot et fit tinter sa clochette du bout du doigt. Eika se rappela que ces objets portent bonheure, EN PRINCIPE. Alors pourquoi ne l'avait-il pas aider à ne pas se perdre et surtout à ne pas avoir rencontré des personnes qui diminuaient ses chances de rembourser les dettes parentales? Qu'importe, on ne remonte pas le temps, c'est un fait. Les dès étant jetés, pourquoi se priver de faire de nouvelles rencontres après tout. Ces parents lui avaient toujours dit de ne pas juger les autres seulement sur leurs apparences ou leurs actions, surtout quand ceux-ci ne sont pas censés savoir qu'on à besoin d'argent...